Poèmes et poésies classés par catégories | ||
---|---|---|
Poème
d'amour
|
Poème
érotique
|
Autres Poème
|
Haïku |
0
1
0
En cette nouvelle année,
Changement de la société,
Evolution vers d'autres perspectives,
Partager les idées qui vous motivent,
Bonnes résolutions pour construire,
Sans oublier de croquer aux plaisirs,
De ta chair aux senteurs épicées,
Ton goût tendre et parfumée,
Chaudement arrosée,
De chocolat,
Un souffle et le voile se leva,
Découvrant la coupe qui se dessine maintenant !
©
Rémi Levraut 30 décembre 2009
Vision
Idyllique
du temps,
Nymphe
tu l'es resté,
Géode
brillante,
Tu
es,
Amours,
Noces
de porcelaine,
Sylve
brulante je ne suis rassasié !
© Rémi Levraut 15 octobre 2006
Parfums,
Incomparable,
Nuage enivrant,
Ananas,
Coco
Oseras-tu
Libérer tes
Aromes épicés
Dans ma bouche
Au sommet l'extase
© Rémi Levraut 29 mars 2008
Pressez de déguster
Un
Shaker
Cinq citrons
Verts pressés
Du sucre vanillé
Versez le sucre de canne
Sur un centimètre top c'est bon
Laissez couler le rhum blanc jusqu'au trait insane
Ajoutez la pincée de poudre d'écorce la cannelle
Emplir abondamment de glaçons
Agité ce mélange m'ensorcelle
© Rémi Levraut 4 janvier 2006
Fasciné
Par votre faculté
De toujours surmonter
Lorsque plus rien n'est à espérer
Force de courage et de ténacité
Douceur tendresse et volupté
Comment ne pas être attiré
De part tous ces côtés
Et tant d'autres encore cachés
Masque que j'ai plaisir à faire tomber
© Rémi Levraut 6 mars 2005
En ce matin pluvieux,
J'espère que tu vas mieux,
Rien ne sera jamais plus précieux,
Qu'une larme sur ton visage gracieux,
Sourire se dessiner doucement je le veux,
Le beau reflet du cristal éblouir ces yeux,
Sur ta joue danser un instant harmonieux,
Couler sur tes lèvres en ce jour délicieux,
Pleurer n'est des fois pas si douloureux,
Le coeur gros on en appelle aux dieux,
Une nuit il viendra voir en ce lieu,
Aimer tu verras est contagieux,
Bien avant qu'il ne soit vieux,
D'un pas silencieux,
Porter aux cieux,
Nous deux
!
© Rémi Levraut Avril 2003
Mille feux t'illuminer,
La foule venue admirer,
Ta longue robe éclairée,
Ce théâtre aux couleurs enflammées,
Tes monuments transformés,
Par les images du temps passé,
Tes fontaines animées,
Sons et lumières enivrés,
Font battre ton coeur enlacé,
Dans ses deux bras argentés.
© Rémi Levraut 2002
Toi qui est si belle,
Qui sous le soleil étincelle,
Au bord de la rivière sort ton ombrelle,
Puis la chaleur sous les tonnelles,
Enveloppe ton corps d'hirondelle.
Ton parfum aux allures Chanel,
Sur tes seins caresse la dentelle,
De ce chemisier en flanelle,
Tes yeux soudain étincellent,
Je te vois qui chancelle,
C'est le plaisir charnel,
C'est à toi que je dédie ce
poème.
© Rémi Levraut 2001
Avez-vous remarqué,
Les lumières s'enflammer,
Aux fenêtres des quartiers,
Dans ces petits pots colorés,
En cette ville la douce clarté,
Ton coeur nous enchanter,
De milles feux animés,
Reflet de tes yeux émerveillés,
Pour ce spectacle plus beau chaque année.
© Rémi Levraut décembre 2003
Je tire sur le fil de laine,
Le temps petit à petit s'égraine,
Comme une poupée de porcelaine,
Tu es encore lointaine,
Je vais briser mes chaînes.
Je suis vraiment touché,
Que tes douces pensées,
Te pousse à m'envoyer,
Un doux message dédié,
J'en frissonne à l'idée,
De soudain me réveiller,
Et sur l'écran éclairé,
De le voir s'afficher,
En ce début de journée.
© Rémi Levraut 2001
Ce message s'envole comme une image,
Qui se propage,
Caressant de son passage,
Ton doux visage,
Pour te dire que j'espère chaque jour d'avantage.
© Rémi Levraut 2001
Je suis heureux
aujourd'hui, Demain ne pas se
laisser le temps, Libre vous le
méritez, d'être
écoutées, Folle envie de vous
aimer,
|
Où es-tu,
où je suis,
Où t'es-tu enfuie ?
Où sont nos moments exquis ?
Le mal est là, il me poursuit,
Je ne sais pas où il me conduit,
Reviens-moi ma poupée chérie.
Tu souffres de mille maux,
Et je t'inflige d'autres mots,
Tout en moi n'est que sanglots,
Au milieu de cet océan sur un radeau,
Je porte sur la vague ce lourd fardeau,
Je chavire, des ces souffles brutaux,
Mes larmes ne cessent de couler à flots,
Au loin un phare brille sur cet îlot,
Encore un mirage où un paquebot,
Glisse sur cette étendue d'eau.
© Rémi Levraut 2002
Pour ma part j'ai
décidé,
Je te le jure d'arrêter,
De nuire de me ruiner,
D'anéantir ma santé,
Oh putain de fumée,
C'est dur de me séparer,
De toi après tant d'années,
Tu ne mérite point d'être aimé,
Pour m'avoir accompagné,
Dans mes tourmentes enlarmées,
Enfin ne plus avoir à t'allumer,
Je suis sur que tu vas y arriver.
© Rémi Levraut Février 2003
Dans ce ciel
étoilé,
Celle du bonheur vous l'avez trouvée,
Je l'espère pour cette nouvelle année,
Suivez son parcours sans tâtonner,
Elle vous emmènera de ses douces pensées,
Quand le jour se lève elle est à vos
côtés,
La nuit tombe et vous la voyez briller,
Ne changez rien vous l'avez apprivoisée,
Elle dominera le ciel de ses feux éclairés,
Votre bonheur ne jamais la quitter.
© Rémi Levraut 2001
Je ne te laisserai pas
t'enfuir,
Je ne te laisserai pas m'oublier,
Je ne te laisserai pas souffrir,
Je ne te laisserai pas désespérer,
Je ne te laisserai pas t'assoupir,
Je ne te laisserai pas pleurer,
Je vais veiller à t'épanouir,
Je vais t'embrasser,
Je vais te prendre te saisir,
Je vais te chérir te caresser,
Je vais faire monter ton désir,
Je vais dans tes yeux plonger,
Je vais te donner du plaisir,
Je vais te faire rigoler,
Et toute la vie,
recommencer,
T'émerveiller te chérir,
Oh ma bien aimé,
Te le dire,
Poupée.
Je t'aime,
je t'adore,
je t'embrasse
partout et là aussi.
© Rémi Levraut 2002
Toi,
Mon Poussin,
Toi qui est au loin,
Te sentir j'en ai besoin,
Sur ton corps mes mains,
Comme cette brise du matin,
Effleurer le bout de tes seins,
Adorable dans ce sublime écrin,
En dentelle noire qui te va si bien,
Comme les vers qui forment ce dessin qui s'affiche dans tes
yeux coquins.
© Rémi Levraut 2002
Ce matin, la dame blanche avait
étendue son voile,
Il faisait encore nuit on ne voyait qu'une étoile,
Par la fenêtre je distingue encore cette lueur,
Qui persiste tout au fond de mon coeur,
Dans mes pensées tu m'as accompagné,
Je t'enveloppe de mes bras serrés,
Contre moi tu viens te blottir,
Ton parfum j'aime sentir,
Sur ce corps de déesse,
Tu es là ma princesse,
Je t'aime, je t'adore,
Toi ma Boucle d'Or,
Milles bisous,
De partout,
Et là aussi.
Rémi
© Rémi Levraut 2002
Quand le vent se lève au
petit matin,
La lune disparaître derrière brouillard et embrun,
Plus qu'une ombre ce bateau qui s'en va au loin,
Affronter vagues et tempêtes c'est son destin,
Accompagné dans sa quête par mouettes et dauphins,
Dans la nuit des milliers de diamants illumine son chemin,
Le jour, le soleil déchire le ciel et tanne sa peau de marin,
La cale est pleine et présage le retour parmi les siens,
La grande voile gonflée à bloc et voir se
dessiner enfin,
Au soleil couchant la côte au milieu de cet écrin,
Accoster décharger et rentrer car il a besoin,
De retrouver celle pour qui il y a ce refrain.
© Rémi Levraut 2002
Plus qu'une petite nuit,
Bientôt je serai dans notre lit,
J'ai hâte de te retrouver ma chérie,
Un baiser s'envole vers toi sans bruit,
Le carillon au loin entonne sa sonnerie,
Puis s'arrête ne laissant plus un bruit,
Le retour s'annonce il est déjà minuit,
Tu ne me quitteras plus c'est inscrit,
Dans le grand livre de notre vie,
Les étoiles brillent à l'infini,
Ma poupée je t'ai choisie.
© Rémi Levraut 2002
La lune brille dans un halo,
La brise caresse ta douce peau,
Laissant ces senteurs de Kenzo,
Envelopper ton corps de bas en haut,
Je suis seul perdu sur un radeau,
Au loin un phare brille sur cet îlot,
Tes yeux verts à demi-clos,
Regarde cette vaste étendue d'eau,
Une pensée passe par dessus les flots,
S'envole à tire d'aile portée
par un oiseau,
Tu fais vibrer ma chair de mille sursauts,
La vague s'évanouit sur le sable chaud,
Tes mèches d'or s'agitent sous ton
chapeau,
La roue de la chance tourne en ce jour nouveau,
Je laisse ma plume pour te dire à bientôt.
© Rémi Levraut 2002
Je ne peux te voir
t'effleurer,
Je suis beaucoup trop éloigné,
Je ne peux que m'imaginer,
Ces collines et ces vallées,
Qu'il me plait de caresser,
De mes lèvres t'embrasser,
Parcourir ta source enchantée,
Ces douces senteurs m'enivrer,
La grande vague c'est engouffré,
Nous allons sûrement chavirer,
Attention de ne pas te noyer,
Dans mes bras je vais te serrer,
Ton coeur battre puis s'apaiser,
M'endormir contre toi épuisé.
© Rémi Levraut 2003
Il est bientôt minuit,
Par la fenêtre la lune luit,
Elle éclaire ton corps endormi,
Ta poitrine soulève le voile de la nuit,
Comme une fleur tu t'épanouis,
Ton parfum se disperse à l'infini,
Des rêves tendres traversent ton esprit,
Tu me regardes, tu me souris,
Comme les vagues sans bruit,
Je contemple ton corps endormi,
Quand cette horrible sonnerie,
Déchire ce rêve attendri.
Où est-tu ma chérie ?
© Rémi Levraut 2003
Ce message a pour but de tester,
Si un doux message est envoyé,
A-t-il une chance d'être effleuré,
Par ton délicieux regard satiné,
Ce sourire éclaire cette journée,
Que tes douces pensées,
Me soient retourner.
© Rémi Levraut 2001
J'aime le frisson qui
m'envahit,
A chacune de tes caresses,
Sur mon corps je frémis,
J'entends battre ton coeur ma Princesse,
Je me serre contre toi tu me souris,
D'une main j'effleure tes fesses,
De l'autre je te parcours c'est exquis,
Le plaisir s'élève doucement en finesse,
Ton parfum excite mes sens endormis,
Tes baisers pleins de tendresse,
La légèreté de tes doigts
indécis,
Sur ma poitrine, ta petite faiblesse,
L'adorable fleur de ton corps s'épanouie,
Je sens le bout de tes seins qui se dressent,
Ton volcan s'enflamme, encore, tu me supplies,
Tu es au bord de l'orgasme c'est
l'ivresse,
Pas maintenant, tu dois attendre, je te punis,
Le drap s'envole en découvrant ton corps de
déesse,
Je descends mon index sur les parois de l'envie,
Je glisse au fond de la vallée avec adresse,
La rivière enchantée inonde ta colline et tu
jouies.
© Rémi Levraut 2002
J'ai tant de plaisir
à te souhaiter,
Pour cette douce et nouvelle année,
Tous ces désirs trop souvent rêvés,
Prendre vie pour enfin tout se réaliser,
De toujours emplir ton coeur enflammé,
Que les étoiles dans tes yeux briller,
Reflètent le parcours tant désiré,
D'une vie souvent bouleversée,
Par ce bonheur apporté,
Chaque nouvelle année,
Celle-ci je te le souhaite encore t'émerveiller.
© Rémi Levraut 2002
Voyager,
A travers le passé,
Dans cette malle plonger,
Atteindre ses lointaines années,
Souvenir de senteurs parfumées,
Alors doucement le sable couler,
Promenant nos douces pensées,
Comme une danse de fée,
Par le vent entraîné,
Feuilles dorées,
Tournoyer,
Et,
Propager,
Mots enflammés,
Lettres enchantées,
Témoignage de ce passé,
Où nous étions encore écolier,
Loin de pouvoir un jour imaginer,
Que nos coeurs seraient si serrés
En revivant ces belles journées,
Et petit à petit se réveiller,
Au son du vieux clocher,
Rentrer !
© Rémi Levraut Mars 2003
Hasard d'une promenade sur
la montée,
Cette femme tout au fond de l'atelier,
Le regard profond la couleur orangée,
Nous a conduit dans la galerie éclairée,
Pinceaux en main le jeune passionné,
Nous décrit en cette fin de journée,
Nuances à la tombée d'une nuit
d'été,
Si vous êtes de passage vous pouvez,
Au détour d'une ballade venir goûter,
Le plaisir de voir ces toiles disposées,
A venir sentir ce doux parfums épicé.
© Rémi Levraut 10 Mai 2003
Douces soirées aux
saveurs parfumées,
Toi la petite fille aux deux visages,
Bras écartelé par ces deux rivages,
Baignée par les odeurs épicées,
Cette terre tant recherchée,
Puis un jour enfin l'habiter,
A cet instant tes rêves sont déjà de
l'autre côté,
Ta vie comme ton coeur est à jamais
mélangé.
© Rémi Levraut 7 Juin 2003
Toi qui me fascine,
Tout mon coeur s'illumine,
Quand la sonnerie cristalline,
Viens enchanter mon oreille fine,
Les mots comme une musique câline,
Prononcer de cette manière divine,
Belle et dangereuse l'aubépine,
Attise les braises qui animent,
Mes pensées libertines,
Ma douce coquine !
© Rémi Levraut Juin 2003
Douce lumière du soleil,
Ombre et lumière réveille,
Ces deux monts merveille,
Le souffle du vent chaud laisse entrevoir,
Les chemins interdits en un flou aléatoire,
La tête me tourne à ce point de
l'histoire,
Les éclairs illuminent faisant paraître un paysage
de rêve,
Au loin l'orage gronde la température monte il n'y
aura pas de trêve,
Tout tremble maintenant autour du volcan embrasé projetant
ses lueurs d'or,
La pluie ne peut altérer en cet unique instant la source
chaude inondant ton corps,
ô Nature Coquine
Chaleur et rosée matinale,
Elle entrouvre ses pétales,
En donnant sans retenue,
Son coeur d'ingénue,
Le charme divin,
De ce parfum,
Epicé,
Quand la foudre l'a touchée,
Sa douce corolle épanouit,
Se gorge de la pluie,
Vacille en sa cime,
ô Nature Coquine !
Une brise la saisie,
Quand le voile de la nuit,
Borde ses rêves assouvis,
La voûte céleste resplendi,
De ses formes arrondies,
De sa beauté épanouie,
Livrant son corps ici,
Sans interdit,
Non-dit
D
e
C
e
t
t
e
P
o
é
s
i
e
Tu ne te faneras pas aujourd'hui
ô Nature Coquine !
© Rémi Levraut 9, 27, 30 juin 2007
De ma plume gorgée,
En cette nuit étoilée,
De l'encre inépuisée,
Sur ton corps de fée,
Glissant en plein et délier,
Mes mains sous le voile laissant briller de ses feux la voie lactée sur ton corps dénudé,
Sur le pont au sommet de la vague te laissant pénétrer de cette douceur parfumée,
Bientôt envahie d'embruns fouettant légèrement ta peau au délicieux goût salé,
De la proue à la poupe balancée par le tangage l'étreinte suave te fait vibrer,
Les battements de ton coeur se font sourds ton souffle vient de s'accélérer,
Soudain tu cherches de ta main la barre mais la houle t'a déboussolée,
La lame s'engouffre envahissant en cet instant ton être embrasé,
Baignée par le soleil levant tu t'es une fois encore abandonnée,
Assouvie ton cri perce le silence de cette nouvelle journée.
© Rémi Levraut 5 septembre 2007
Maintenant ton corps et le mien ne
font plus qu'un,
Les battements de ton coeur au creux de ma main,
Entre mes jambes quelle excitante position,
Je sens la chaleur qui monte la passion,
Enchaînant tes courbes délicieuses,
J'avance sur cette route sinueuse,
Le plaisir monte à chaque passage,
Sur la rivière quel beau paysage,
Plus bas au fond de la vallée,
Une fois la forêt dépassée,
Le ruban noir dévoile,
Ta beauté mon étoile.
© Rémi Levraut Juin 2003
Caresses,
Longues
et tendres,
Insistant
sur les parties,
Torrides
de ton corps chaud,
Oh
de mes mains de ma bouche,
Reine
je te ferai enfin mienne,
Instant
maintenant suprême,
Sentir
vibrer ton plaisir.
© Rémi Levraut 7 Avril 2003
Etoile sur mon lit,
Tu brilles à l'infinie,
Fleur épanouie.
Copyright © Rémi Levraut 2001 - 2013
Pressez
de déguster, Un Shaker Cinq citrons Verts pressés
Du
sucre vanillé Versez le sucre de canne Sur un
centimètre
top c'est bon Laissez couler le rhum blanc jusqu'au trait insane
Ajoutez la pincée de poudre d'écorce la cannelle
Emplir
abondamment de glaçons Agité ce
mélange
m'ensorcelle Femmes Fasciné Par votre faculté De
toujours
surmonter Lorsque plus rien n'est à espérer Force
de
courage et de ténacité Douceur tendresse et
volupté Comment ne pas être attiré De
part tous ces
côtés Et tant d'autres encore cachés
Masque que
j'ai plaisir à faire tomber Larme de Cristal En ce matin
pluvieux, J'espère que tu va s mieux, Rien ne sera jamais
plus
précieux, Qu'une sur ton visage gracieux, Sourire se
dessiner doucement je le veux, Le beau reflet du cristal
éblouir
ces yeux, Sur ta joue danser un instant harmonieux, Couler sur tes
lèvres en ce jour délicieux, Pleurer
n'est des fois
pas si douloureux, Le coeur gros on en appelle aux dieux, Une nuit il
viendra voir en ce lieu, Aimer t u verras est contagieux, Bien avant
qu'il ne soit vieux, D'un pas silencieux, Porter
aux cieux,
Nous deux ! Fête de Lumières Mille feux
t'illuminer,
La foule venue admirer, Ta longue robe éclairée,
Ce
théâtre aux couleurs enflammées, Tes
monuments
transformés, Par les images du temps passé, Tes
fontaines
animées, Sons et lumières enivrés,
Font battre ton
coeur enlacé, Dans ses deux bras argentés. Parfum
d'Amour Toi qui est si belle, Qui sous le soleil
étincelle, Au bord de la rivière sort ton
ombrelle, Puis
la chaleur sous les tonnelles, Enveloppe ton corps
d'hirondelle.
Ton parfum aux allures Chanel, Sur tes seins caresse la dentelle, De ce
chemisier en flanelle, Tes yeux soudain étincellent, Je te
vois
qui chancelle, C'est le plaisir charnel, C'est
à toi
que je dédie ce poème. 8 décembre 2003
Avez-vous
remarqué, Les lumières s'enflammer, Aux
fenêtres
des quartiers, Dans ces petits pots colorés, En cette ville
la
douce clarté, Ton coeur nous enchanter, De milles feux
animés, Reflet de tes yeux
émerveillés, Pour ce
spectacle plus beau chaque année. Le Temps Je tire sur le
fil de
laine, Le temps petit à petit s'égraine, Comme
une
poupée de porcelaine, Tu es encore lointaine, Je vais briser
mes
chaînes. Je suis vraiment touché, Que tes douces
pensées, Te pousse à m'envoyer, Un doux message
dédié, J'en frissonne à
l'idée, De soudain
me réveiller, Et sur l'écran
éclairé, De le
voir s'afficher, En ce début de journée. L'Image
Ce
message s'envole comme une image, Qui se propage, Caressant de son
passage, Ton doux visage, Pour te dire que j'espère chaque
jour
d'avantage. JOURNEE DE LA FEMME Je suis heureux aujourd'hui,
Oui
ce plaisir n'est pas fini, Un jour pour vous donner vie,
Recommencer toujours à l'infini, Narcisse ou
bouquet
épanoui, Exaltant ce doux parfum endormi,
Ensoleillée
cette journée je vous le dis, Demain ne pas se laisser le
temps,
Effacer sur le tableau de la vie cet élan, Libre vous le
méritez, d'être
écoutées,
Achèverait peut-être les hostilités,
Folle envie de
vous aimer, En ce jour de solennité, Mesdames ne point vous
oublier, Merci d'être à nos
côtés,
Ensemble tout surmonter. L'Espoir Où es-tu,
où je
suis, Où t'es-tu enfuie ? Où sont nos
moments
exquis ? Le mal est là, il me poursuit, Je ne sais pas
où
il me conduit, Reviens-moi ma poupée chérie. Tu
souffres
de mille maux, Et je t'inflige d'autres mots, Tout
en moi
n'est que sanglots, Au milieu de cet océan sur un
radeau,
Je porte sur la vague ce lourd fardeau, Je chavire, des ces souffles
brutaux, Mes larmes ne cessent de couler à flots, Au loin un
phare brille sur cet îlot, Encore un mirage où un
paquebot, Glisse sur cette étendue d'eau. La
Cigarette Pou
r ma part j'ai décidé, Je te le jure
d'arrêter, De
nuire de me ruiner, D'anéantir ma santé, Oh
putain de
fumée, C'est dur de me séparer, De toi
après tant
d'années, Tu ne mérite point d'être
aimé,
Pour m'avoir accompagné, Dans mes tourmentes
enlarmées, Enfin ne plus avoir à t'allumer, Je
suis sur
que tu vas y arriver. L'Etoile Dans ce ciel
étoilé, Celle
du bonheur vous l'avez trouvée , Je
l'espère
pour cette nouvelle année, Suivez son parcours sans
tâtonner, Elle vous emmènera de ses douces
pensées,
Quand le jour se lève elle est à vos
côtés,
La nuit tombe et vous la voyez briller, Ne changez rien vous
l'avez apprivoisée, Elle dominera le ciel de ses
feux
éclairés, Votre bonheur ne jamais la quitter.
Vivre
d'amour Je ne te laisserai pas t'enfuir, Je ne te
laisserai
pas m'oublier, Je ne te laisserai pas souffrir, Je ne te
laisserai pas désespérer, Je ne te laisserai pas
t'assoupir, Je ne te laisserai pas pleurer, Je vais veiller
à t'épanouir, Je vais t'embrasser, Je
vais te
prendre te saisir, Je vais te chérir te caresser, Je vais
faire
monter ton désir, Je vais dans tes yeux plonger, Je vais te
donner du plaisir, Je vais te faire rigoler, Et tou te la vie
recommencer, T'émerveiller te chérir,
Oh ma bien
aimé, Te le dire, Poupée. Je t'aime, je
t'adore, je t'embrasse partout et là
aussi. DesSein
d'Amour Toi, Mon Poussin, Toi qui est au loin, Te sentir j'en
ai
besoin, Sur ton corps mes mains, Comme cette brise du matin, Effleurer
le bout de tes seins, Adorable dans ce sublime écrin, En
dentelle noire qui te va si bien, Comme les vers qui forment ce dessin
qui s'affiche dans tes yeux coquins. Te Voir Nue ! Ce matin,
la
dame blanche avait étendue son voile, Il faisait encore nuit
on
ne voyait qu'une étoile, Par la fenêtre
je distingue
encore cette lueur, Qui persiste tout au fond de mon coeur, Dans mes
pensées tu m'as accompagné, Je
t'enveloppe de
mes bras serrés, Contre moi tu viens te blottir, Ton parfum
j'aime sent ir, Sur ce corps de déesse, Tu es
là ma
princesse, Je t'aime, je t'adore, Toi ma Boucle
d'Or,
Milles bisous, De partout, Et là aussi. Journée
d'Amour
Quand le vent se lève au petit matin, La lune
disparaître
derrière brouillard et embrun, Plus qu'une ombre
ce bateau
qui s'en va au loin, Affronter vagues et tempêtes
c'est son destin, Accompagné dans sa
quête par
mouettes et dauphins, Dans la nuit des milliers de diamants illumine
son chemin, Le jour, le soleil déchire le ciel et tanne sa
peau
de marin, La cale est pleine et présage le retour parmi les
siens, la grande voile gonflée à bloc et voir se
dessiner
enfin, Au soleil couchant la côte au milieu de cet
écrin,
Accoster décharger et rentrer car il a besoin, De retrouver
celle pour qui il y a ce refrain. La Dernière Nuit Plus
qu'une petite nuit, Bientôt je serai dans notre
lit,
J'ai hâte de te retrouver ma chérie, Un
baiser
s'envole vers toi sans bruit, le carillon au loin entonne sa
sonnerie, Puis s'arrête ne laissant plus un bruit,
Le
retour s'annonce il est déjà minuit, Tu
ne me
quitteras plus c'est inscrit, Dans le grand livre de notre
vie,
Les étoiles brillent à l'infini, Ma
poupée j
e t'ai choisie. Bientôt avec toi La lune brille
dans un
halo, La brise caresse ta douce peau, Laissant ces senteurs de Kenzo,
Envelopper ton corps de bas en haut, Je suis seul perdu sur un radeau,
Au loin un phare brille sur cet îlot, Tes yeux verts
à
demi-clos, Regarde cette vaste étendue d'eau, Une
pensée passe par dessus les flots, S'envole
à tire
d'aile portée par un oiseau, Tu fais vibrer ma
chair de
mille sursauts, La vague s'évanouit sur le sable
chaud,
Tes mèches d'or s'agitent sous ton
chapeau, La roue
de la chance tourne en ce jour nouveau, Je laisse ma plume pour te dire
à bientôt. Loin de toi Je ne peux te voir
t'effleurer, Je suis beaucoup trop
éloigné, Je ne
peux que m'imaginer, Ces collines et ces vallées,
Qu'il me plait de caresser, De mes lèvres
t'embrasser, Parcourir ta source enchantée, Ces
douces
senteurs m'enivrer, La grande vague c'est
engouffré,
Nous allons sûrement chavirer, Attention de ne pas te noyer,
Dans
mes bras je vais te serrer, Ton coeur battre puis s'apaiser,
M'endormir contre toi épuisé
Rêve Il est
bientôt minuit, Par la fenêtre la lune luit, Elle
éclaire ton corps endormi, Ta poitrine soulève le
voile
de l a nuit, Comme une fleur tu t'épanouis, Ton
parfum se
disperse à l'infini, Des rêves tendres
traversent
ton esprit, Tu me regardes, tu me souris, Comme les vagues sans bruit,
Je contemple ton corps endormi, Quand cette horrible son nerie,
Déchire ce rêve attendri. Où est-tu ma
chérie ? Test Ce message a pour but de tester, Si un doux
message est envoyé, A-t-il une chance
d'être
effleuré, Par ton délicieux regard
satiné, Ce
sourire éclaire cette journée, Que tes douces
pensé es, Me soient retourner. Nuit Torride J'aime
le
frisson qui m'envahit, A chacune de tes caresses, Sur mon
corps
je frémis, J'entends battre ton coeur ma
princesse, Je me
serre contre toi tu me souris, D'une main
j'effleure tes
fesses, De l'autre je te parcours c'est exquis, Le
plaisir
s'élève doucement en finesse, Ton
parfum excite mes
sens endormis, Tes baisers pleins de tendresse, La
légèreté de tes doigts
indécis, Sur ma
poitrine, ta petite faiblesse, L'adorable fleur de ton corps
s'épanouie, Je sens le bout de tes seins qui se
dressent,
Ton volcan s'enflamme, encore, tu me supplies, Tu es au bord
de
l'orgasme c'est l'ivresse, Pas
maintenant, tu dois
attendre, je te punis, Le drap s'envole en
découvrant ton
corps de déesse, Je descends mon index sur les parois de
l'envie, Je glisse au fond de la vallée avec
adresse, La
rivière enchantée inonde ta colline et tu jouies.
Toi ma
bien aimée J'ai tant de plaisir à te
souhaiter,
Pour cette douce et nouvelle année, Tous ces
désirs trop
souvent rêvés, Prendre vie pour enfin tout se
réaliser, De toujours emplir ton coeur enflammé,
Que les
étoiles dans tes yeux briller, Reflètent le
parcours tant
désiré, D'une vie souvent
bouleversée, Par
ce bonheur apporté, Chaque nouvelle année,
Celle-ci je te
le souhaite encore t'émerveiller. Le Sablier
Voyager, A
travers le passé, Dans cette malle plonger, Atteindre ses
lointaines années, Souvenir de senteurs
parfumées, Alors
doucement le sable couler, Promenant nos douces pensées,
Comme
une danse de fée, Par le vent entraîné,
Feuilles
dorées, Tournoyer, Et, Propager, Mots enflammés,
Lettres
enchantées, Témoignage de ce passé,
Où nous
étions encore écolier, Loin de pouvoir un jour
imaginer,
Que nos coeurs seraient si serrés En revivant ces belles
journées, Et petit à petit se
réveiller, Au son du
vieux clocher, Rentrer ! Le Tableau Hasard d'une promenade
sur la
montée, Cette femme tout au fond de l'atelier, Le
regard
profond la couleur orangée, Nous a conduit dans la galerie
éclairée, Pinceaux en main le jeune
passionné,
Nous décrit en cette fin de journée, Nuances
à la
tombée d'une nuit
d'été, Si vous
êtes de passage vous pouvez, Au détour
d'une ballade
venir goûter, Le plaisir de voir ces toiles
disposées, A
venir sentir ce doux parfums épicé. Orientale
Douces
soirées aux saveurs parfumées, Toi la petite
fille aux
deux visages, Bras écartelé par ces deux rivages,
Baignée par les odeurs épicées, Cette
terre tant
recherchée, Puis un jour enfin l'habiter, A cet
instant
tes rêves sont déjà de
l'autre
côté, Ta vie comme ton coeur est à
jamais
mélangé. TOI To i qui me fascine, Tout mon coeur
s'illumine, Quand la sonnerie cristalline, Viens enchanter mon oreille
fine, Les mots comme une musique câline, Prononcer de cette
manière divine, Belle et dangereuse l'aubépine,
Attise
les braises qui animent, Mes pensées libertines, Ma douce
coquine ! Nature coquine, Douce lumière du soleil, Ombre et
lumière réveille, Ces deux monts merveille, Le
souffle du
vent chaud laisse entrevoir, Les chemins interdits en un flou
aléatoire, La tête me tourne à ce point
de
l'histoire, Les éclairs illuminent faisant
paraître
un paysage de rêve, Au loin l'orage gronde la
température monte il n'y aura pas de trêve, Tout
tremble
maintenant autour du volcan embrasé projetant ses lueurs
d'or, La pluie ne peut altérer en cet unique
instant la
source chaude inondant ton corps, ô Nature Coquine. Chaleur
et
rosée matinale, Elle entrouvre ses pétales, En
donnant
sans retenue, Son coeur d'ingénue, Le charme
divin, De ce
parfum, Epicé, Quand la foudre l'a
touchée, Sa
douce corolle épanouit, Se gorge de la pluie, Vacille en sa
cime,
ô Nature Coquine ! Une brise la saisie, Quand le voile de la
nuit, Borde ses rêves assouvis, La voûte
céleste
resplendi, De ses formes arrondies, De sa beauté
épanouie, Livrant son corps ici, Sans interdit, Non-dit, De
Cette Poésie, Tu ne te faneras pas aujourd'hui.
Croisière
Erotique, De ma plume gorgée, En cette nuit
étoilée, De l'encre
inépuisée, Sur
ton corps de fée, Glissant en plein et délier,
Mes mains
sous le voile laissant briller de ses feux la voie lactée
sur
ton corps dénudé, Sur le pont au sommet de la
vague te
laissant pénétrer de cette douceur
parfumée,
Bientôt envahie d'embruns fouettant
légèrement ta peau au délicieux
goût
salé, De la proue à la poupe balancée
par le
tangage l'étreinte suave te fait vibrer, Les
battements de
ton coeur se font sourds ton souffle vient de
s'accélérer, Soudain tu cherches de ta
main la
barre mais la houle t'a déboussolée, La
lame
s'engouffre envahissant en cet instant ton être
embrasé, Baignée par le soleil levant tu
t'es une
fois encore abandonnée, Assouvie ton cri perce le silence de
cette nouvelle journée. Amour de Moto Maintenant ton corps
et le
mien ne font plus qu'un, Les battements de ton coeur au creux
de
ma main, Entre mes jambes quelle excitante position, Je sens la chaleur
qui monte la passion, Enchaînant tes courbes
délicieuses,
J'avance sur cette route sinueuse, Le plaisir monte
à
chaque passage, Sur la rivière quel beau paysage, Plus bas
au
fond de la vallée, Une fois la forêt
dépassée, Le ruban noir dévoile, Ta
beauté
mon étoile. CARESSES EROTIQUES Caresses, Longues et tendres,
Insistant sur les parties, Torrides de ton corps chaud, Oh de mes mains
de ma bouche, Reine je te ferai enfin mienne, Instant maintenant
suprême, Sentir vibrer ton plaisir Haïku Etoile sur
mon lit,
Tu brilles à l'infinie, Fleur épanouie.